Construction de votre vision industrielle
- Être à la confluence de votre stratégie et des technologies émergentes ;
- Définir comment vos usines devront être organisées demain afin de répondre aux attentes de vos clients en termes de qualité, coûts et délais : des produits toujours plus personnalisables, fabriqués à moindre coûts et assemblés à la demande ;
- Intégrer les implications des nouveaux paradigmes technologiques et les nouvelles opportunités qu’elles induisent : exploitation de la réalité virtuelle dans la conception de ligne, utilisation de l’impression 3D pour la production de pièce à la demande, exploitation des véhicules à guidage automatique pour la création de lignes d’assemblages flexibles, etc.
Définition de la feuille de route
- Appréhender la situation industrielle existante, les atouts et handicapes ;
- Intégrer l’incertitude technologique : quelle maturité et à quel coût ? Aujourd’hui et demain ?
- Identifier les stratégies possibles de mise en œuvre en intégrant rentabilité et maîtrise des risques technologiques : faisabilité, réversibilité, préservation des alternatives au fur et à mesure de l’avancée du programme ;
- Définir une architecture globale (intégration physique, modèle de landscape applicatif, etc.) ;
- Découper le programme en une somme de projets à la complexité maîtrisée.
Exécution
- Partager de la vision et mobilisation des équipes ;
- Assumer un sponsorship fort au plus haut niveau de l’organisation ;
- Assurer un pilotage contrôlé des projets ;
- Choisir les solutions à mettre en œuvre ;
- Arbitrer quant à l’utilisation des ressources, en particulier des compétences internes ;
- Privilégier une approche agile par « petits pas » mais fondée sur une vision de l’architecture globale et l’exploitation de standards et protocoles partagés (globaux, par industrie, propres à l’entreprise) ;
Pérennisation
- Stabiliser de nouveaux modes de fonctionnement ;
- Valoriser les leaders à même d’ancrer l’organisation dans une nouvelle réalité ;
- Intégrer le caractère permanent du changement tout en pérennisant les savoirs : trouver le bon équilibre entre partage des savoirs acquis (documentation, formation, coaching, etc.) et gestion de son obsolescence et de son renouvellement ;